• Empathie et humanisme 09/10/2019

     

     

    Cette île me plaît, depuis ce moment à l'aube quand elle apparut sur l'horizon. Les formes des montagnes et ses petites côtes bien protegées, sont une invitation pour y rester.

    Mon île est gracieuse quand il fait beau ; mélancolique quand le ciel est gris et lugubre quand le ciel pleure. Mais dans la vie, tout est comme ça non?. Près de la plage il y a une lagune d'eau salée où habite une colonie de flamencs.

    J'ignore pourquoi, mais dans mon île déserte le coeur tremble facilement et, les états d'âme se renouvellent comme l'air que je respire.

     

     

    Empathie et humanisme 09/10/2019

     

     

    Je marche. Promène. Gravis des montagnes. Observe les oiseaux. Je caresse les bébés phoques. Pêche des crabes. Cours nu sur la plage. M'assois sur les rochers. Je regarde depuis les falaises les évolutions des raies géantes. Espionne les soleil qui s'en va. Me cache et regarde sans être vu les flamencs qui se baignent. M'en dors sur le sable. Me réveille. Je ris. Et puis, souris aux étoiles.

    C'est tout. Je suis dans mon île déserte

     

    Île Ràbida

     

     

    Julio Villar/Cahier d'un navigant solitaire

     

     

     

     

     

     


  • Commentaires

    1
    Mardi 19 Novembre 2019 à 11:37

    Bonjour Angel,

    C'est un magnifique texte d'une grande poésie, qui témoigne de l'amour de l'auteur envers la nature qui l'entoure.

    Bonne journée !

    Amitiés,

    Martine

      • Samedi 23 Novembre 2019 à 10:59

        Bonjour Martine,

        Merci pour votre commentaire. Oui, comme vous, je suis en communion avec ce merveilleux récit de vagabondage comme l'appellerai Villar. 

        Heureux de vous retrouver parmi nous à ekla

        Amitiés

        Angel

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